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Jumia Travel : La start-up africaine passe la barre du million de visiteurs mensuels

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Jumia Travel (ex Jovago)

En un peu plus de trois années d’existence, la plateforme qui permet de faire des réservations d’hôtel, Jumia Travel, a fait un long chemin. Après ces 3 ans, Paul Midy, le n°1 de la start-up, livre lors d’une interview ses impressions sur le marché et ses objectifs.

Jumia Travel: Paul Midy

Paul Midy , CEO de Jumia Travel

Créé en 2012, Jumia Travel dispose déjà dans ses références de 25 000 établissements hôteliers et quelque 1 million de visiteurs mensuel sur son site. Après avoir effectué un rebranding et un changement de nom en juin, Jovago qui est devenu Jumia Travel est devenu une véritable référence sur le marché et est reconnu à l’international.

Malgré le fait que Paul Midy n’ait pas voulu divulguer les chiffres sur son résultat annuel, on sait qu’en moyenne 5 % de ses clients dépensent au moins 50 euros lors d’une réservation. Il faut également noter que la start-up emploie quelque 500 employés déployés sur une quarantaine de pays africains. Elle dispose également de 17 bureaux répartis sur tout le continent.

Jumia Travel, une réussite internationale

Jumia Travel, c’est, 200 pays où sont implantés des établissements hôteliers partenaires avec des prestations qui ont « un potentiel de profitabilité très important et doivent contribuer à la rentabilité du groupe Jumia de façon conséquente » selon le patron de Jumia, Paul Midy. Ce dernier mentionne également, qu’il y a aussi de belles opportunités sur les activités comme la réservation de billets d’avion ainsi que l’offre en pack incluant, les billets pour le vol, l’hébergement hôtelier et les circuits proposés. C’est aussi sur ce point que Paul Midy nous livre ses impressions concernant le marché des réservations d’hôtel, mais aussi, ses objectifs par rapport à ce marché.

Concernant la question sur la position et l’état du service de Jumia sur le marché des réservations d’hôtel, Paul Midy, a affirmé que la start-up se focalise pour le moment, sur le seul marché hôtelier. La base de son activité se fonde sur deux problèmes majeurs:

  1. En Afrique, les consommateurs ont du mal à trouver de bons établissements hôteliers. En effet, selon Paul Midy, les hôtels locaux se font rarement connaître par la publicité et sont souvent, des établissements à gestion indépendante qui préfèrent ne pas trop attirer l’attention sur eux pour des raisons de sécurité.
  2. Le prix : la difficulté dans la recherche d’établissement vient également du fait des tarifs appliqués. Sur la plateforme de Jumia, des tarifs plus bas sont en vigueur, selon le volume de commandes enregistrées. Cela peut aller de 20 % à  80 % de rabais pour le client.

Concernant la question de la gamme d’hôtel qui est la plus prisée sur  le marché, Paul Midy a affirmé que ses partenaires étaient ,lors des débuts, surtout des établissements 4 étoiles et plus. Cela parce que la start-up visait surtout des clients aisés et offrait des services très hauts de gamme. Mais au fil des années, sa cible s’est élargie. Aujourd’hui, les réservations enregistrées par la plateforme sont beaucoup plus de gamme moyenne, à savoir, les établissements 3 étoiles.

Hôtel de luxe en Afrique

En moyenne, une réservation était de 100 euros il ya deux année de cela, mais aujourd’hui, le panier moyen est situé entre 50 et 80 euros.

Paul Midy a également affirmé qu’en terme de volume de réservation sur les pays où Jumia oeuvre, le Nigéria est toujours le marché où la start-up effectue les meilleurs chiffres. C’est le pays où la firme a assuré le lancement de ses activités et c’est aujourd’hui le pays où elle arrive à faire 30 à 50% de son chiffre d’affaires. Mais il y a aussi les destinations comme la Côte d’Ivoire et le Ghana qui sont des destinations d’affaires importantes, la Tanzanie pour les touristes et l’Algérie qui partage ces deux types de clientèles.

Malgré ces constats, Paul Midy a refusé de donner des chiffres sur son bilan annuel, mais a affirmer que son chiffre d’affaires accuse une croissance de 20% par mois.

Les journalistes qui ont interviewés Paul Midy ont également demandé si le changement de nom n’allait pas impacter sur la performance de la start-up. Le responsable a expliqué que le changement a déstabilisé quelques clients, mais cela n’a pas impacté l’efficacité de la plateforme étant donné que Jumia a enregistré beaucoup de nouveaux clients depuis ce changement. De ce fait, le nom Jumia n’a pas eu de conséquences négatives sur la part de marché de la start-up.

Collaboration avec le groupe MTN

Le groupe MTN est une véritable opportunité pour Jumia Travel. En effet, les deux entités ont les mêmes ambitions, mais également, que Jumia peut s’appuyer sur l’excellente performance de MTN,  surtout sans sa stratégie marketing. MTN permet aussi à Jumia d’être plus visible. En effet, la collaboration a permis de développer une application mobile Jumia étant donné que la start-up distribue des assurances AXA. MTN a également permis à Jumia de bénéficier d’un système free of data qui lui permet d’offrir à ses usagers, des crédits de données non décomptés.

Suivant la question concernant le nombre de visite sur le site et l’application mobile Jumia Travel, Paul Midy a donné un chiffre moyen de 1 million de visites par mois, rien qu’en Afrique. La plupart de ces visiteurs utilisent surtout les appareils mobiles, à raison de 50 à 60 % des internautes, alors que ce taux n’était que de 20 % au lancement du projet. Et sur ce million de visiteurs, la start-up a maintenu un taux de 5% de réservation sur le nombre d’internautes qui va sur le site.

En outre, pour optimiser ses activités, Jumia organise fréquemment des séances de formations pour les réceptionnistes des hôtels partenaires, mais également, pour les managers. Cela est nécessaire pour garder le prestige des hôtels partenaires, tant dans le service que dans la gestion, selon toujours le responsable de Jumia. La firme organise également des entretiens mensuels, durant lesquels elle partage les bonnes pratiques en termes d’action commerciale et marketing. Tout ceci est par ailleurs, stipulé dans l’accord avec les établissements partenaires, en plus des critères techniques et du taux de commission de la firme.

Concernant la question sur le prix des chambres, Paul Midy affirme que les établissements partenaires ne sont pas obligés d’appliquer des tarifs bas, dans l’accord de partenariat. Cependant, elle informe sur le besoin d’apposer des prix à la baisse de -20 à -80%  sur la base des prix des concurrents sur le marché. En d’autres termes, il y a une séance de discussion sur les tarifs entre Jumia et les responsables des établissements hôteliers, en faisant une comparaison sur les chiffres et les tarifs existants sur le marché.

C’est également, par rapport à ces points que des établissements hôteliers rompent le contrat d’engagement dans le partenariat avec Jumia. Et surtout, si les hôtels sentent qu’ils ne font pas assez de chiffre sur la plateforme.

Quelle est la suite pour Jumia Travel?

Jumia Travel (ex Jovago)

Jumia Travel (ex Jovago)

Pour ce qui est des perspectives de la firme, Paul Midy se montre très optimiste quant à l’évolution de cette activité sur le territoire africain. En effet, d’après son constat, 50% des réservations d’hôtel en Europe se font en ligne, contre 5% en Afrique. Mais ces chiffres sont en constantes hausse, que Jumia soit encore sur le secteur dans l’avenir ou non.

Enfin, sur la question du ralentissement économique en Afrique, Paul Midy ne s’en inquiète pas. En effet, d’après lui, cela n’est que passager, à court terme, et n’impactera pas la construction de la vision de Jumia et ses objectifs à long terme.

Source : jeuneafrique.com

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AFRIJOBSTORE, relever le grand défi de l’emploi en Afrique

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Afrijobstore

AFRIJOB STORE, est une plateforme Africaine qui permet la mise en relation dématérialisée, entre employeurs et candidats à l’emploi.

AFRIJOB STORE se veut une porte ouverte sur le marché du travail en Afrique. Son ambition, est de pallier les difficultés d’accès à l’emploi que rencontrent de nombreuses entreprises Africaines ou installées en Afrique.

Aussi, de nombreux cadres Africains expatriés en Occident ou ailleurs, parfois bien que soucieux de revenir chez eux, hésitent cependant faute de perspective sûre. AFRIJOB STORE entend leur offrir un moyen pouvant leur permettre d’accéder à tous les emplois de leur choix. C’est aussi pour eux, l’opportunité offerte, de chercher à mettre à la disposition de leurs compatriotes, de leur pays et continent, leurs compétences et les expériences qu’ils ont acquis à l’étranger.afrijobstore
AFRIJOB STORE est en fin de compte, un outil de fluidification, de redynamisation et surtout de démocratisation du marché du travail Africain.
Grâce à la diffusion de profils divers et variés d’un plus grand nombre de candidats sur son site, ainsi que des offres d’emploi dont les caractéristiques sont clairement détaillées, AFRIJOB STORE, favorisera non seulement une plus grande visibilité des besoins exprimés, mais aussi et surtout, permettra de réaliser, très rapidement et plus facilement, une parfaite adéquation, entre d’une part les offres des employeurs, et d’autre part, les demandes des travailleurs en recherche d’emploi.

En fonction de ses prestations, AFRIJOB STORE, souhaite devenir une aide précieuse ainsi qu’un support incontournable, entre les mains des responsables des ressources humaines certes, mais également, de tous les recruteurs et structures privées de placement, qui vont avoir à leur disposition, une banque idéale et facile d’accès, pour toutes données et informations dont ils ont besoin.
A vrai dire, le principal problème des cadres Africains, n’est pas tant le chômage, que le sous-emploi ou le mauvais emploi des compétences. Aujourd’hui, il est question non seulement d’élargir l’accès aux responsabilités publiques, aux entreprises et ONG, mais aussi, de faire en sorte que les entrepreneurs puissent être compétitifs et profiter rapidement des opportunités offertes par le marché.
afrijobstore
Dans cette perspective, AFRIJOB STORE, vise avant tout à pallier rapidement et efficacement, un vide très préjudiciable aux employeurs et demandeurs d’emploi, jusqu’alors privés de multitudes d’outils de référence et de qualité. Il s’agit en fait, de relever un défi, grand, noble et exaltant qui est celui de l’emploi en Afrique.

AFRIJOB STORE s’engage, afin de contribuer à la réalisation de votre rêve d’emploi qui est notre devoir.
Désormais, vous pouvez vous rendre sur le site officiel : afrijobstore.com

N’hésitez pas à nous faire parvenir par tous moyens, vos critiques et suggestions. A l’adresse : [email protected]

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Classement des plus grosses sociétés africaines en 2017

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Compagnies africaines

De nombreuses entreprises ont émergé en Afrique durant ces dernières années, et ont remarquablement bien réussi, fournissant des emplois, renforçant les caisses de leurs gouvernements respectifs, et changeant également des vies grâce à leurs diverses responsabilités sociales.
Voici un classement des plus grosses sociétés africaines en 2017 :

10. Imperial Holdings – $8 milliards

Imperial Holdings

Imperial a commencé à exister en 1947 en tant que concessionnaire au centre de Johannesbourg, et a évolué pour devenir une entreprise qui emploie plus de 47,000 personnes au sein de toute l’Afrique du Sud, en Europe, au Royaume-Uni, aux Etats-Unis et en Australie.
Sa présence internationale est vaste. Elle possède également la société privée de logistique la plus importante du pays.

9. Vodacom Group – $9.2 milliards

Vodacom Group

Son siège social étant situé à Midrand, en Afrique du Sud, Vodacom emploie 7,300 personnes par le biais de cinq sociétés africaines.
Ces sociétés offrent des services de communication, de données, de messageries, et des services locaux, flexibles et à haut débit pour plus de 40 millions de clients.
Le groupe Vodacom a atteint la première place sur le marché du réseau mobile bien plus souvent que n’importe quel autre entreprise semblable, ce qui la place parmi les plus importante entreprises d’Afrique.

8. Sanlam – $10.12 milliards

Sanlam

Cette entreprise sud-africaine a fait l’expérience de la croissance massive, qui a vu changer celle-ci depuis ses début en tant que simple compagnie d’assurances, pour devenir un groupe de services financiers immense, spécialisé dans la planification financière, la fiducie, la retraite, les testaments, les assurances à court-terme, la gestion des biens et des risques, et les activités commerciales, d’investissement et de production de richesse.
Le groupe est présent en Afrique du Sud, au Botswana, en Namibie, en Malawi, en Swaziland, en Zambie, au Rwanda, au Kenya, en Tanzanie, en Ouganda, au Ghana, au Mozambique, en Malaisie, en Inde et au Royaume-Uni.
L’entreprise possède également des intérêts commerciaux aux Etats-Unis, en Australie et dans les Philippines.

7. Shoprite Holdings – $10.14 milliards

 Shoprite Holdings

Shoprite est une chaîne de magasins très vaste présente au sein de 17 pays d’Afrique. L’entreprise est cotée aux bourses sud-africaines, zambiennes et namibiennes.
Au total, le groupe possède ou contrôle près de 1,700 boutiques – situées dans des pays incluant l’Afrique du Sud, la Namibie, la Zambie, la Tanzanie, et à l’île Maurice.

6. Eskom – $13.7 milliards

Eskom

Il s’agit du plus gros producteur d’énergie d’Afrique, et l’un des plus importants au monde. L’entreprise produit 95% de l’électricité utilisée en Afrique du Sud, et répond aux besoins énergétiques du continent à hauteur de 45%. Elle est également protégée en tant qu’actif contrôlé par le gouvernement Sud-Africain, la plaçant dans une position lucrative. L’entreprise fait ainsi partie des dix entreprises plus importantes d’Afrique.

 

 

 

 

5. Bidvest – $16.5 milliards

Bidvest

Bidvest est une entreprise internationale de services, de trading et de distribution cotée à la Bourse de Johannesburg, opérant sur quatre continents et employant près de 105,000 personnes du monde entier.
Bien que ses racines restent fermement sud-africaines, l’entreprise est présente dans de nombreux domaines, allant du transport aux services de restauration. Elle traite également dans le domaine du stationnement, de la gestion des déchets médicaux et de l’éclairage industriel.

 

4. MTN Group – $17.2 milliards

MTN Group

Le MTN Group est le plus petit des deux géants de la téléphonie d’Afrique du Sud. Cependant, il possède une portée internationale plus importante que ses concurrents.
Il existe dans seize pays d’Afrique, et dans d’autres pays du Moyen-Orient. Il fut fondé en 1994, et au cours de l’année 2011, le groupe possédait plus de 127 millions d’utilisateurs. Son nombre considérable de clients permet à l’entreprise d’être l’une des plus prospères du continent.

 

3. Sasol – $18.3 milliards

Sasol

Les intérêts de l’entreprise incluent entre autres, le charbon, le pétrole et le gaz.
Sasol est une entreprise internationale de produits chimiques et d’énergie globale, existant au sein de 38 pays. L’entreprise exerce une influence sur les technologies et sur le savoir-faire de 30,300 employés.
Elle se classe troisième des plus importantes entreprises d’Afrique. Elle fut fondée en 1950 en Afrique du Sud, et est cotée à la JSE dans ce même pays, ainsi que dans le New York Stock Exchange aux Etats-Unis.

 

2. Sonangol – $22.2 milliards

Sonangol

Le géant gazier Angolais nommé Sonangol dispose presque du monopole dans le pays, qui est le troisième plus grand producteur de pétrole d’Afrique.
Sous sa coupe, l’entreprise gère près de 30 filiales – dont la plupart travaillent avec Sonangol pour lui permettre de répondre à ses besoins. Cela inclut des réseaux ferroviaires, des systèmes de transport, des entreprises de télécommunication et des stations de raffinerie situées sur l’ensemble de la planète.

 

1. Sonatrach – $58.7 milliards

Sonatrach

Le géant gazier et producteur de pétrole Algérien, Sonatrach, arrive première sur la liste des entreprises Africaines.
Les intérêts de l’entreprise incluent l’exploration, la production, l’acheminement, le traitement et la commercialisation d’hydrocarbures et leurs dérivés. Elle participe également dans d’autres domaines, tels que la désalinisation de l’eau de mer, et la production d’énergie. De plus, elle est actionnaire ou possède entièrement 18 autres entreprises. L’entreprise travaille dans différentes régions du monde, y compris en Europe, en Amérique latine et aux Etats-Unis.

 

Bien que le continent soit assailli par de nombreux problèmes, des entreprises restent florissantes et permettent de changer les choses dans de nombreux domaines de la vie, et par conséquent, méritent une certaine reconnaissance.

 

 

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La start-up Tripinafrica redimensionne le voyage en Afrique

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La start-up Tripinafrica redimensionne le voyage en Afrique

58 millions. C’est le nombre de touristes qui ont sillonné le continent africain en 2016, d’après « Hospitality Report Africa 2017 », fruit d’une étude menée conjointement par Jumia Travel et Accord Hotels. Loin d’être passagère, cette tendance est appelée à se poursuivre avec près de 110 millions de voyageurs attendus d’ici 2027.

Cet afflux touristique implique de maîtriser des enjeux capitaux pour pérenniser le développement d’une filière à haut potentiel pour le continent. Même si les défis restent encore brûlants, l’Afrique est très certainement en marche pour devenir le prochain eldorado touristique.

Et pour accompagner le dynamisme de ce secteur, la start-up Tripinafrica a lancé la première plateforme communautaire d’activités touristiques 100% africaine. Convaincue que l’Afrique se vit plus qu’elle ne se visite, l’équipe mise avant tout sur une valorisation de l’expérience locale.

Une nouvelle vision du voyage en Afrique

Pionnier dans le genre, le site web Tripinafrica recense les lieux phares dans plusieurs destinations africaines, parmi lesquels hôtels, restaurants, activités et expériences locales.

écran accueil tripinafrica

Tripinafrica offre un répertoire complet des meilleurs lieux à visiter à des voyageurs souvent confrontés à la difficulté de dénicher des informations fiables sur le web. C’est d’ailleurs le constat auquel aboutit son fondateur lors d’une expédition dans l’Ouest africain. 

Longtemps considéré comme une activité de prédilection des étrangers, le tourisme régional séduit de plus en plus. Une tendance qui s’est confirmée en 2016 : les voyageurs africains ont soutenu pour près de 65% à la croissance du tourisme local.

Face à une demande accrue, le city guide Tripinafrica s’est lancé le défi de connecter des milliers de voyageurs à travers l’Afrique et le Monde. Grâce aux recommandations d’une fidèle communauté d’utilisateurs, le site regorge de conseils pour construire son itinéraire.

Le partage est d’ailleurs au coeur du concept. Des coups de coeur aux déceptions, voyageurs et locaux livrent leurs impressions, et n’hésitent pas à répondre directement aux globe-trotters en quête d’informations.

communauté influenceurs tripinafrica

Promotion de l’écosystème touristique

A l’heure du web 3.0, Tripinafrica offre aussi aux propriétaires d’établissements l’opportunité de gagner en visibilité auprès d’une large communauté d’internautes à travers le monde.

En créant un compte gratuit sur la plateforme, chaque gérant d’établissement peut présenter son activité, publier des photos, laisser des avis et interagir directement avec ses clients.

En seulement quatre mois d’existence, Tripinafrica, c’est déjà :

  • une présence dans 6 pays : Maroc, Côte d’Ivoire, Mali, Sénégal, Kenya et Afrique du Sud
  • 1500 hôtels, restaurants et activités répertoriés
  • une communauté de plus de 30 000 membres sur les réseaux sociaux

Tripinafrica semble définitivement détenir toutes les cartes pour s’imposer face aux géants TripAdvisor, Yelp et Booking.com.

réseaux sociaux tripinafrica

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